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Le Groupe des 10 a présenté au ministre de l’Emploi, David Clarinval, un premier accord concernant, entre autres, la fin du RCC (anciennement prépension). Le Président national de la CGSLB, Gert Truyens, souligne qu’un dialogue constructif est la clé pour parvenir à des solutions viables et que cet accord constitue un premier signal indiquant que la concertation sociale est prise au sérieux.
Le Conseil supérieur pour la Prévention et la Protection au Travail (CSPPT) a émis un avis unanime sur l’avenir de la médecine du travail.
L’objectif est de maintenir les travailleurs en bonne santé et motivés au travail et la prévention de l’incapacité de travail (de longue durée).
La CGSLB s’adresse au gouvernement fédéral et aux organisations patronales dans une lettre ouverte avec un message clair : il est temps de prendre ses responsabilités et de moderniser la concertation sociale. Le syndicat a décidé de ne pas participer à la grève nationale du 31 mars et plaide pour des solutions concrètes ainsi qu’un dialogue social moderne et proactif.
La Chambre a décidé d’augmenter le nombre maximum d’heures de travail autorisées pour les étudiants, passant de 475 à 650 heures par an. Cette décision marque un tournant supplémentaire : du job étudiant pendant les vacances d’été vers un travail structurel tout au long de l’année. « Cela représente plus de 80 jours de travail, ce qui risque de perturber encore davantage l’équilibre déjà fragile du marché de l’emploi », déclare Gert Truyens.
La pression sur les travailleurs ne cesse d’augmenter : le pouvoir d’achat diminue, la charge de travail augmente et l’incertitude autour d’une pension digne grandit. De nombreuses personnes risquent d’être submergées par les mesures du gouvernement. C’est pourquoi la CGSLB lance la pétition "BOOSTEZ VOTRE AVENIR", avec 10 mesures concrètes.
Comme ce sont surtout les femmes qui travaillent à temps partiel et qui constituent le plus grand groupe des malades de longue durée, il faut s’attendre à ce qu’elles ressentiront davantage que les hommes, les mesures prévues dans l’accord de gouvernement. Pourtant, celui-ci promet « l’égalité entre les femmes et les hommes », du moins en ce qui concerne la réforme des pensions.